Un (mois de) mars, et ça repart

En février, j'ai hiberné. Non, rassurez tout de suite le Medef: j'ai été un bonne salariée, j'ai travaillé tous les jours, mais tous les soirs, en rentrant, une fois ma mini-deuxième journée expédiée, pfou ! Il n'y avait plus personne. Plus d'énergie (ou alors si pour regarder la dernière saison de Downton Abbey, ayé, c'est fini, et je trouve d'ailleurs que cette saison n'était qu'un long et dernier épisode qui traînait bien en longueur...), mais de vilaines crampes la nuit qui me tenaient éveillée (et lutter contre les crampes en dormant à moitié, c'est l'enfer, en vrai). Une cure de magnésium et de vitamines D plus tard, cela va quand même mieux.

Pour résumer, février a rimé avec confection de déguisement (achat de tellement de tissu tigré qu'on aurait pu ses déguiser en tigres tous les 5 et faire ensuite une photo de famille tellement étrange qu'elle aurait certainement fini dans un diaporama Topito, réalisation d'un déguisement au feeling à base d'une vidéo Youtube où la nana n'était pas allée au bout des explications - expliquer comment découper le patron en se basant sur une combinaison de ski, ok, mais pour l'assemblage, noter juste "coudre" était un peu court, heureusement que j'avais eu un peu d'entrainement l'été !!), toux persistante pour tout le monde sauf moi, qui a mystérieusement disparu une fois les Alpes franchies. Une petite semaine dans la poudreuse (en haut des pistes) et sous la pluie au chalet, et hop, retour au turbin...

Entretemps, Nimbus a eu l'âge de raison (j'y reviendrai), Mars est arrivé et je suis sortie de ma torpeur. Welcome back, ami lecteur !